Amélie Lamontagne détient une maîtrise en criminologie. Elle a travaillé pendant plusieurs années auprès de femmes victimes de violence conjugale, tant au Québec qu’en Écosse et au Royaume-Uni, où elle a apporté un soutien aux victimes devant les tribunaux pénaux. Elle a récemment collaboré avec l’Alliance MH2 au développement d’un écosystème de soutien pour les victimes de violence conjugale souffrant de lésions cérébrales traumatiques. Elle poursuit actuellement un doctorat en droit à l’UQAM, où elle se concentre sur la criminalisation du contrôle coercitif.